Translate

mardi 24 septembre 2019

Le moine, les ânes et les chevaux

Après "l'Equitation sentimentale", Alexandre Siniakov lit "En intelligence avec les chevaux"
Alexandre Siniakov est un jeune prêtre orthodoxe qui recueille des chevaux et des ânes dans son royaume d'Epinay-sous-Sénart en  région parisienne. Il réalise son vieux rêve de cosaque : avoir des chevaux et vivre en harmonie avec eux.
 Je l'ai interviewé pour Cheval Pratique et...  il m'attendait avec mon propre livre à la main pour que je lui dédicace. "Mon sang cosaque et ma bonne volonté ne suffisaient pas à faire de moi un homme de cheval. Je me suis documenté, j'ai lu et j'ai appris". Il ajoutera un peu plus tard, les yeux malicieux: "Quand je ne sais plus quoi faire avec eux, je chante et je prie". 


Petite balade avec la comtoise Quenelle dans les jardins du séminaire



Les chevaux sont lâchés tous les jours autour de la chapelle orthodoxe

Alexandre Siniakov a bouleversé sa vie pour s'occuper de ses sept chevaux et de ses deux ânesses. De 5h30 le matin à 22h30, sa journée est ponctuée par les prières et les soins aux animaux. Il s'occupe de ses deux troupeaux- ses fidèles et ses animaux- avec la même passion, le même dévouement. Où va-t-il s'arrêter? Depuis le reportage, il a accueilli un nouveau pensionnaire, un magnifique alkal-téké de trois ans.

Chacun trouve sa place dans le troupeau!

Pour découvrir ce lumineux personnage, vous pouvez lire le long entretien qu'il m'a accordé dans Cheval Pratique d'octobre (355) et acheter son livre "Détachez-les et amenez-les-moi" paru chez Fayard.
Le père Alexandre Siniakov vient d'ouvrir un site internet consacré à sa cavalerie et à son asinerie : écurie-chrétienne.org


1 commentaire :

  1. Merci beaucoup, chère Antoinette, pour votre reportage, pour ces belles photos! Je suis heureux que mes braves chevaux et ânesses soient connus, grâce à vous! Votre visite nous a fait très plaisir. Nous vous attendons de nouveau, quand vous le souhaitez, pour voir en oeuvre les méthodes et conseils de vos livres.

    Avec toute ma reconnaissance,
    Alexandre Siniakov

    RépondreSupprimer