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Olivier Puls : "Faire aimer l'équitation avec des aides légères" |
Les aides servent à guider le cheval, lui donner des indications, l'aider tout simplement. Hélas, trop souvent, elles viennent le perturber, le déranger, l'embrouiller. Elles peuvent même le rendre fou à moins qu'il ne préfère les ignorer totalement et entrer dans sa bulle. Tout plutôt que ces actions d'éperons maladroits, ces chocs dans la bouche, ces inconfortables agitations du bassin, ces incompréhensibles coups de cravache! Plus on agit et plus le cheval s'emmêle les sabots! Est-ce que l'on veut qu'il avance quand on le talonne? Qu'il saute ou qu'il attende la prochaine foulée quand on pousse avec son bassin? Qu'il recule quand on tire sur sa bouche?
C'est d'autant plus obscur pour le cheval que l'on ne cède pas. Céder, rien n'est plus important pour lui! Voilà pourquoi il faut toujours se demander face à un problème : qu'est ce que j'ai fait qui n'a pas aidé mon cheval? Se poser ce genre de questions, cela change tout! Cela... aide le cheval!
Pour en savoir plus, lire mon article dans Cheval Pratique de mai (n° 350) avec, en bonus, une interview de l'écuyer du Cadre noir Olivier Puls qui nous parle de l'excès d'aide mais aussi de l'énergie, une aide primordiale qui vient compléter les aides classiques.
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A lire dans Cheval Pratique de mai |
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Se poser les bonnes questions, c'est déjà aider le cheval! |
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