Les coulisses du CSI Zurich: c'est Jean-Marc Imbert qui pilote Pégase

Toujours le même rituel ! Juste avant d’entrer en scène, Yelo écoute Jean Marc Imbert qui lui parle longuement. Puis il baille plusieurs fois. Il est prêt. Seul, il va entrer en scène. Il sera seul dans la lumière, seul face aux frémissements du public dans la puissance de la musique.  « Il m’impressionne, dit Jean-Marc Imbert. Il a moins le trac que moi ! » Concentré, Yelo fait Pégase sans jamais se laisser distraire. Il est Pégase. Il vole, trotte, galope, recule, change de main, passe au pas espagnol… puis salue en levant un antérieur. Le public est sous le charme tout comme Jean-Marc Imbert lui-même.

Yelo a une oreille très fine qui lui permet d’entendre les indications de Jean-Marc. Il  a aussi un physique de rêve. Une robe palonimo, une morphologie parfaitement équilibrée, des attaches fines, il a tout pour plaire. « Il a le physique du cheval de Barbie, la concentration d’un  sportif de haut niveau et l’envie de bien faire. Il est beau dehors comme dedans. C’est une perle ! » se félicite Jean Marc Imbert. Entier, il a un caractère en or. « Il peut chauffer avec des juments mais c’est rare. Il peut aussi se mettre à renifler leurs crottins comme il a fait samedi à Zurich! Sinon, il est gentil et sociable ».

 Sa sociabilité est entretenue par son mode de vie. Chez Jean-Marc Imbert, les chevaux vivent toute la journée à deux ou à trois dans des paddocks. Yelo partage son espace avec deux hongres. Ce qui entretient sa forme physique et son moral. Bref, cela lui donne des ailes!

D'abord, Yelo baille

Il se concentre

A l'écoute de son pilote

Les pas de côté tout seul

Avec Jean-Marc Imbert maintenant

En coulisses, Clémence Faivre rêve de son Pégase...

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et retrouvez Clémence Faivre dans un prochain post...
puis ce sera le tour de Patrick Faure et son cheval cracheur de feu