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jeudi 28 février 2013

Le cavalier de bronze à Saint-Pétersbourg

En balade à Saint Pétersbourg, je pose devant la statue de Pierre Legrand, le fondateur de la ville.
Réalisé par le français Falconet, le cheval incarne l'Empire, mené par le tsar Pierre Le Grand qui désigne de sa main le lieu de construction de la ville.
Le tsar monte sans étrier, comme tous les empereurs romains.

Une fois encore, le cheval glorifie les grands, les puissants.
Il faut être surpuissant pour pointer le doigt sur des marécages et proclamer: "Qu'ici soit une ville". Mais aussi pour enrôler de force près de 40 000 serfs chargés de construire la ville de ses rêves. Et s'offrir la vie de 150 000 personnes, victimes de la fièvre des marais, de dysenterie, du scorbut, de la faim ou d'épuisement.
Rien que le socle de cette statue pèse 1 500 tonnes. De quoi épuiser les hommes chargés de la transporter!



lundi 25 février 2013

Les chevaux promènent les touristes à Saint Pétersbourg

Croiser des chevaux devant les palais de Saint-Pétersbourg est un véritable enchantement suivi d'une sentiment de tristesse. J'aime admirer les chevaux dans les villes. J'aime leur odeur, leur présence, leur beauté.

J'aime entendre leurs sabots résonner dans les rues de la ville. J'aime admirer les vieux carrosses réhabilités, les troïkas féériques s'éloigner dans la neige et le blizzard.

Oui, je les aime mais ... j'ai de la peine de les voir attelés toute la journée sans pouvoir ni bouger ni même se gratter, ou  avancer en se tordant le dos pour rétablir leur équilibre
Je me raisonne. Les chevaux doivent réinvestir les villes. Emmener des touristes, animer des fêtes et des mariages, c'est leur meilleure façon de survivre et de se faire aimer. Mais leurs conditions de travail devraient être mieux encadrées!

Persuadée qu'il faut donner aux chevaux de la  place dans notre vie,  je monte dans la troïka. Pour quelques centaines de roubles, les chevaux m'emmènent dans le parc glacé du palais Catherine (ou palais de Tsarskoïe Selo). Emmitouflée sous ma couverture, j'entends le souffle du cheval  filant dans le parc à l'anglaise. Je ferme les yeux et je me retrouve au bout du monde, prête à croiser le poète Pouchkine au détour d'un chemin ou d'entrevoir Catherine la Grande, l'impératrice aux multiples amants.
Fin XVIIIème siècle, elle venait passer l'été, ici, à 25 kilomètres de Saint-Petersbourg. Merci cheval pour cette merveilleuse promenade dans le passé.





Le lendemain, je retrouve des chevaux attendant les clients devant le palais de l'Ermitage. Les touristes sont rares aujourd'hui. Toujours la même impression. J'aime les voir et j'ai un peu de peine...


samedi 23 février 2013

Honza Bláha dresse les chevaux en liberté



Ce n'est plus une mode, c'est une déferlante. Chaque jour, je découvre de nouvelles vidéos de dresseurs façon éthologie qui s'inspirent notamment de Pat Parelli. A chaque fois, la magie opère. Voici Honza Blaha. D'origine tchèque, Honza parle aux chevaux avec son corps. Avec deux sticks de dressage et un langage corporel précis, il conduit ses chevaux là où il le veut et les sublime. Rien ne semble forcé. Tout est si naturel...

Visitez son site

jeudi 21 février 2013

Le zèbre qui saute

J

J'aime les zèbres. Cet animal sauvage me fait rêver et , bien-sûr, je l'imagine plutôt en troupeau dans la savane qu'en train de faire du saut d'obstacles. Mais cette vidéo m'a plu car le zèbre semble vraiment bien dans ses sabots. Et l'on ressent l'amour et le respect mutuel qui l'unit à sa cavalière.



Les zèbres m'ont inspiré cette histoire que je signe dans le dernier Galopin. Bravo à Fanny Ruelle pour son illustration.

mardi 19 février 2013

Les chevaux sur le pont

Mistria et Malika n'ont peur de rien! Les deux juments passent partout et ne se posent jamais de question. Mistria est même particulièrement autonome. Lorsqu'on traverse le rond-point, elle sait quand s'arrêter, quand laisser passer les voitures et si elle peut ou non repartir. Malika, la baie brune se fie à son jugement et lui emboîte le pas. Sur le pont, les deux juments savent qu'elles n'ont rien à craindre.
Parfois, elles trottent pour ne pas impatienter les automobilistes qui sont derrière. La plupart s'amusent de les voir et sont très respectueux.

Et je me plais à rêver d'un monde où les chevaux auront retrouvé la place qu'ils méritent.

Un monde où ils auront de vraies missions auprès des hommes, un monde où le feu passera au rouge pour les laisser passer... Oui, je rêve de tout sauf d'un monde de traders et de chevaux transformés en steack ou en hachis parmentier.




dimanche 17 février 2013

La VALSE sentimentale de Magali Delgado et Frédéric Pignon



Magali Delgado et Frédéric Pignon nous offrent un très joli moment. Pas de prouesse technique dans ce pas de deux mais une légèreté, une facilité et un bonheur communicatif. Les chevaux donnent l'impression de se donner librement, de s'amuser même.

Cela m'incite à me replonger dans leur livre "Au galop vers la liberté" édité par Belin.



Voilà quelques morceaux choisis:
Sur le travail en liberté
"Il est impossible d'obliger un étalon en liberté à quoi que ce soit s'il ne donne pas son plein consentement. Je dois donc être particulièrement prudent : pour gagner la confiance et l'assurance d'un cheval, il ne faut jamais le faire douter..."

Sur le sens de l'humour du cheval
"Le cheval possède certainement quelque chose qui se rapproche de l'humour- ou plutôt d'une certaine espièglerie, une capacité à tourner une situation en dérision, à saisir une occasion pour s'amuser".

Le cheval comme un individu
"On peut aspirer au même objectif avec tous les chevaux- mais il faut être prêt à y arriver par des chemins différents, ne jamais partir du principe qu'on peut employer la même technique d'un cheval à l'autre".

L'importance de la concentration
"J'observe toujours le cheval avec chaque fibre de mon être: je ne me contente pas de le capter avec mes sens-la vue, l'ouïe, l'odorat- je me concentre pour essayer de lui communiquer mes pensées et d'écouter les siennes. Je me concentre tellement que cela exclut toute autre pensée".

Plus je me plonge dans leur livre et plus je trouve des phrases que j'ai envie de vous faire partager. Il y a même un paragraphe intitulé "Que nous dit-il?" Frédéric raconte comment il faut être capable de "lire" un cheval et de décoder ses réactions suffisamment rapidement pour pouvoir ajuster nos propres réactions.

Un livre qui colle bien avec cette valse sentimentale.

samedi 16 février 2013

Les chevaux déchiffrent notre langage intuitif

 Les chevaux lisent en nous. Mieux, ils perçoivent nos intentions. Et ils nous parlent. Ils baillent, s'approchent, tournent l'encolure, s'éloignent, baissent la tête, ferment les yeux, remuent les oreilles... Chacun de leurs signes a un sens.


Martine Bergay anime des stages sur le thème "Le cheval révélateur de nos blocages".
J'ai assisté à l'un d'eux et j'ai été bluffée!



Le cheval réagit intuitivement et immédiatement à chacune de nos actions et même de nos intentions. Il sait très bien nous faire comprendre là où cela bloque!
Regardez bien ces photos. Elles disent beaucoup. Faites vous même l'expérience. Martine Bergay propose un stage les 9 et 10 mars à Ventabren (13). Eleveuse et dresseuse de chevaux (haute école, cirque), Martine Bergay sait les lire, les observer, les comprendre et... leur donner la parole.





Voir son site

vendredi 15 février 2013

Les juments dans la boue!

La gadoue, la flotte, les pieds qui collent, la gale de boue qui guette, les carrières détrempées, les barrières grignotées, la nuit qui tombe à 17h...  quand l'hiver s'éternise et que le moral baisse, il suffit de penser à... la belle saison!

J'imagine les juments la tête dans l'herbe fraîche. En fin d'après-midi, je vais les chercher en tea shirt et en baskets. Les petits oiseaux m'accompagnent. Le printemps, c'est DEMAIN!  





mercredi 13 février 2013

Un nouveau blog avec Monchevalmedit

Je vous présente la petite bloggueuse de la planète-mon-cheval-me-dit. A neuf ans, elle aime les poneys, les chevaux, les chiens, les chats, les vaches... et trouve même un certain charme aux limaces. Si elle était grande, elle aurait un avis sur la protection des chevaux, leur statut, leur respect... Si elle était grande, elle irait voir les mustangs en Amérique, les marwaris en Inde, les criollos en Argentine... Elle a neuf ans, alors pour l'instant, elle les aime, c'est tout!

Elle attend d'être grande pour avoir un avis sur tout. Mais elle aime les histoires et elle sait très bien les raconter. Elle s'amuse du cheval maquillé, applaudit les danses du cheval indien et rêve d'un cheval pour faire ses courses. Elle promène son regard curieux et franc sur la planète équestre et a plein de questions à poser.

Allez visiter son blog, petit frère de "Mon cheval me dit". Si vous appréciez, inscrivez-vous pour être informé et recevoir des histoires dans votre boîte e-mail.


lundi 11 février 2013

Les chevaux du film "Turf"


Non, il n'y a aucun trucage! C'est juste le cascadeur Yann Vaille qui fait son travail pour "Turf", le film de Fabien Onteniente qui sortira le 13 février 2013.

 Mario Luraschi et son équipe ont reconstitué de vraies courses. Pour tourner une course, ils avaient besoin de 50 chevaux! Pour respecter les pur-sang et ne pas les fatiguer, chacun ne pouvait faire qu'un seul passage.  Il fallait  5 piquets de 10 pur-sang, soit 50 chevaux par journée de tournage avec 50 palefreniers.
" On a sillonné toutes les écuries d'entrainement de Normandie et du sud ouest pour louer les plus beaux chevaux, raconte Pascal Chino Madura, assistant de Mario Luraschi. Pour les monter, on a pris de vrais jockeys".

Quant à l'actrice Vahina Giocante, elle s'est entrainé pendant six mois. Tous les matins, elle allait chez Robert Laplanche à l'entrainement à Chantilly. Elle montait deux lots. "On lui avait trouvé un cheval calme et docile qui s'appelait Le Beffroi, poursuit Pascal Chino Madura. Mais pendant les essais, il a eu peur et il a fait un écart. Vahina est tombée et elle s'est cassé le coccyx".

 Elle est remonté à cheval un mois plus tard, comme si de rien n'était et... sans trucage!





samedi 9 février 2013

Le scandale des lasagnes au cheval

La découverte de viande de cheval dans les lasagnes à la bolognaise, le hachis parmentier et la moussaka a provoqué un scandale au Royaume-Uni où le cheval est considéré comme sacré. En France et en Suède, les produits ont été enlevés des rayons. Les viandes de cheval retrouvées dans les lasagnes venaient d'un producteur roumain. Une grande bagarre juridique s'annonce entre le groupe suédois Findus qui se dit trompé et les divers intermédiaires français, luxembourgois et roumains.

Personnellement, je refuse de manger de la viande de cheval. Je n'imagine pas une seconde conduire mon compagnon le plus cher à l'abattoir.
Je ne suis pas végétarienne mais je consomme de moins en moins de viande. Pour le moment, je n'en mange qu'à l'occasion de sorties, de diners ou de fêtes, pour ne pas me mettre en marge de la vie sociale. Pour moi, les animaux sont des personnes, des êtres vivants sensibles qui ont des sentiments, des émotions, qui souffrent...

 Les reportages sur les abattoirs, notamment ceux réalisés par la Fondation Bardot m'ont tellement choquée. Je vous mets le lien mais je conseille aux âmes sensibles de pas aller visiter ce site sur l'hippophagie. Non, en France comme ailleurs, on ne tue pas les animaux proprement et sans douleur. Il faut le savoir. De plus en plus d'animaux sont abattus sans être étourdis au préalable après des séjours abominables chez des engraisseurs et, souvent pour les chevaux, d'interminables voyages en camion.

Pour ne pas justifier cette situation, on peut ne manger de la viande qu'une ou deux fois par semaine et choisir une viande élevée dans de bonnes conditions. Bien-sûr,  elle coûte plus cher. Mais puisqu'on en mange moins! Enfin, mieux vaut bannir toutes ces préparations industrielles aux compositions souvent très mystérieuses. Les protéines végétales remplacent avantageusement la viande.
Je monte à cheval tous les jours, je cours trois fois par semaine et je me porte très bien!

Donnez votre avis en commentaire et allez voir  le point de vue d'une jeune cavalière dans Ma planetechevalmedit

vendredi 8 février 2013

Des chevaux toujours partants suite



 Malika est tout aussi enthousiaste! Partante pour n'importe quelle activité! Elle expérimente la monte en amazone, saute des barres, apprend à reconnaitre des objets ou à se rouler sur commande.

Petite, tout en muscle, bourrée de sang et extravertie, elle est la fille de Concorde et de Bruyère d’Armont par Narcos II. On la croit indolente, paresseuse même, uniquement intéressée par l’herbe ou occupée à rêvasser. En un quart de seconde, elle se métamorphose. L’encolure relevée, elle fait sa belle et se met au passage, en ronflant. Souvent en chaleur, elle fait de l'oeil à tout entier passant dans son périmètre.

En concours, elle prend toutes les options. Elle les cherche même!

Retrouvez la dans mon livre "Je joue avec mon cheval"



jeudi 7 février 2013

Des chevaux toujours partants!


 Je suis charmée par l'immense gentillesse des chevaux.  Ils sont toujours d'accord pour nous accompagner dans nos délires. Tenez, ma jument, Mistria du Lavillon. Cette belle jument de concours. a beaucoup de sang, le respect des barres et une technique qui serait infaillible si je n'étais pas aux commandes. Elle aime sauter, partir en forêt et peut rester plusieurs dans le camion à attendre son tour en concours. En fonction de mes lubies, elle travaille à pied, déroule une reprise de dressage et fait même des concours de beauté! Emme cherche toujours à comprendre ce que je vais bien inventer. Pour les besoins de mon livre, elle a appris à reculer à la simple indication du petit doigt d'un enfant de huit ans, à faire de la gymnastique en liberté ou à ... jouer au docteur!





Demain, je vous apprendrez ce que fait Malika, sa copine d'écurie.








mercredi 6 février 2013

Paris-Moscou à cheval avec Jean-Louis Gouraud, prix Renaudot du livre de poche

En ajoutant le nom de Jean-Louis Gouraud à cette publicité, je repense à son extraordinaire aventure. En 1990, l'écrivain-éditeur a relié Paris à Moscou avec ses deux trotteurs, Prince de la Meuse et Robin. Le grand amoureux des chevaux a traversé les deux Allemagne, et la Pologne avant d'entrer en URSS. Il a été accueilli en héros après avoir parcouru 3333 kilomètres en 75 jours et sans assistance.
 Je me replonge dans son livre "Le pérégrin émerveillé" aux éditions Actes Sud que j'ai dévoré cet été.
Je l'avoue, quand j'ai vu le pavé (517 pages), j'ai un peu hésité. Mais une fois lancée, je n'ai pas pu m'arrêter. J'ai même lu toutes les notes en bas de pages! Jean-Louis Gouraud est un raconteur d'histoires. Alors, quand il raconte la sienne, il excelle!

Sur son amour des chevaux
"Je n'ai qu'un seul vrai problème. J'aime les chevaux. Bien qu'incurable, cette hippophilie n'est pas une maladie grave. Elle entraîne par contre toutes sortes d'autres problèmes auxquels, justement, on croyait avoir échappé: sentimentaux, financiers, physiques et même métaphysiques."
Son goût du voyage
"Je souffre d'un phénomène étrange, inexplicable: dès que je vois un cheval, je suis pris d'une furieuse, d'une irrépressible envie: monter dessus - et partir". 
Le choix de l'URSS
"Primo, j'ai toujours éprouvé une attirance particulière pour les lieux mystérieux, sulfureux, inaccessibles... A la Californie, je préfère la Sibérie et aux plages de la Méditerranée, l'épaisseur de la taïga ou l'immensité de la steppe. Il n'y a là aucune espèce de coquetterie, de snobisme ou de recherche d'originalité à toux prix, non: juste une sorte d'allergie à la foule, une répulsion à toute forme d'embrigadement, une aversion pour les comportements moutonniers."
Son cheval Prince de la Meuse
."... c'est qu'il a, en effet, une drôle de tronche... Finalement je lui trouve plutôt une bonne tête, originale mais intelligente, l’œil attentif mais serein. Hélas, éprouvé sans doute par une saison de chasse, le poil terne laissant apparaître de vieilles blessures d'harnachement, il fait plus pitié qu'envie... Je ne le sais pas encore: je viens d'acheter non seulement le meilleur cheval de ma vie mais le meilleur cheval du monde". 
Sur son second cheval, Robin
"Outre le fait qu'il est atteint, au passage de sangle, d'une curieuse éruption de boutons, il me semble qu'il ne tourne pas rond. Il est pris de frayeurs subites et inexplicables..."

Impossible ici de citer ses rencontres extraordinaires, ses petits désagréments quotidiens, ses grandes frayeurs, ses tracasseries de passage de frontière et tous ses émerveillements... Je vous laisse découvrir   comment il a donné ses deux chevaux à Gorbatchev et comment il est retourné les "voler" dans des conditions rocambolesques à l'arrivée d'Eltsine. Comment il entreprendra le même voyage, avec les mêmes haltes, en voiture cette fois, 20 ans après. Il rend alors visite aux hôtes qui l'avaient accueilli lors de son périple à cheval. Tout a changé. L’Allemagne est réunifiée, la Pologne intégrée à l'Union Européenne et l'URSS a été remplacée par des républiques qui ne croient plus au communisme...
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lundi 4 février 2013

Bartabas devient cheval

http://www.equidiawatch.fr/#/video/1595455

Incroyable Bartabas! A force de fréquenter les chevaux, l'homme leur ressemble. Eternellement aux aguets, il analyse les odeurs, sursaute au moindre bruit, se fâche, souffre et vibre au son d'une musique rythmée.
 Pour présenter son livre "Manifeste pour la vie d'artiste" aux éditions Autrement, Bartabas fait le cheval dans "Livre et vous" sur Equidia.
La métamorphose d'un homme double qui se dénude dans le photomaton d'Equidia, un drap noir pour tout accessoire.  Avec sa bouche, ses yeux, ses mains, ses dents, Bartabas devient cheval.





Cette performance me fait penser à Picasso. Bartabas a peut-être puisé une partie de son inspiration chez le peintre dont il  a dédié un volume de la "Collection Grande Ecurie de Versailles" (éditions Favre). Je revois avec curiosité les études pour le cheval de Guernica.


dimanche 3 février 2013

Le chien qui dresse les chevaux


Patouche vit aux écuries des Eiders avec sa maitresse, Sabrina Isoulet. A force d'observer la patronne du centre équestre, il  fait...  tout comme elle! Il promène même les chevaux à la longe. Et les emmène parfois dans des endroits improbables... Débonnaires, les chevaux se laissent guider et se plient à toutes ses fantaisies. Un chien qui se prend pour un humain! Cela ne les étonne pas plus que cela...




Un sacré caractère ce berger des Pyrénées! "Il est indépendant et n'en fait qu'à sa tête. J'ai fait venir un éducateur canin qui lui a appris les bases, raconte Sabrina. Maintenant, je peux partir à cheval en promenade avec lui". Sans laisse bien évidemment! Il ne faudrait pas inverser les rôles!


D'autres photos sur le site des écuries



samedi 2 février 2013

Le cheval de Mylène Farmer

Il s'appelle Baturo. Il est le protégé de Katerina Ratnur, une écuyère qui travaille pour Mario Luraschi.
"Avec lui, j'ai été gâtée, reconnait-elle. Il m'a tout donné. Il est toujours partant!" A six ans, ce pure race espagnol bai sait "lire et écrire". Ce qui signifie en langage cascadeur qu'il attaque, se cabre, se couche... Pour "Jappeloup", il a supporté le feu à 5 centimètres de lui, a galopé sur l'autoroute... Un brave, un vrai cheval de guerre. Mais aussi un cheval capable de transcender son énergie contenue et de l'exprimer avec souplesse et élégance. Dans la publicité pour le vernis à ongle OPI, il danse dans le rythme. Il est tout simplement sublime! A regarder dans un post précédent : Les coulisses du cheval danseur.




Pour le clip de Mylène Farmer, son travail a été beaucoup plus facile. Il se contente de galoper dans la forêt et de faire des plans en liberté.

vendredi 1 février 2013

Démasquez le cheval de Mylène Farmer !

Qui est le cheval qui joue dans le clip de Mylène Farmer?

Voilà quelques indices:
Il danse dans une publicité qui a été vu des milliers de fois et qui est sur mon blog.
Il joue dans un film qui va sortir au cinéma dont je parle également dans mon blog.
Il est beau, jeune, intelligent, joueur...

La bande annonce de Jappeloup

Voilà la bande annonce du film Jappeloup qui sortira le 13 mars prochain. Préparez vos mouchoirs!

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19469764&cfilm=175607.html


Et découvrez le vrai parcours de Pierre Durand, le champion olympique qui a inspiré le film, sur le site de Cheval Magazine. C'était en 1988!

http://www.chevalmag.com/